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Identification des chats - chiens militaires

IDENTIFICATION DES CHATS : LA LOI DEVANT LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL

Depuis le 14 avril 2011, la mesure rendant obligatoire l'identification de tous les chats a été définitivement adoptée par le sénat. Dans son article 28, la proposition de loi rend obligatoire l'identification des « chats de plus de 7 mois nés après le 1er janvier 2012 ».

Sur 9,9 millions de chats en France, plus de 80 % ne sont pas identifiés. C'est pourquoi trop de félins sont perdus et placés en refuge avant d'être euthanasiés faute d'identification. Un véritable drame pour les propriétaires lorsqu’ils perdent leurs compagnons. De plus, cette loi vise à réduire les abandons de félins qui attendent dans les refuges sans que l’on puisse retrouver et sanctionner les propriétaires.

C’est face à ce constat amer d’abandon que la sénatrice de Charente a souhaité compléter la loi pour que les chats soient, au même titre que les chiens, concernés par l’identification et non plus – « livrés à eux-mêmes, dans des conditions sanitaires parfois déplorables ».
La loi devrait être rapidement mise en application est sera effective dès le 1er janvier 2012.

Cette identification, fait partie, avec la stérilisation, des méthodes permettant de réduire, sans leur nuire, la prolifération des chats. Cet enjeu est une priorité lorsque l’on sait qu’un couple de chats peut engendrer à lui seul jusqu’à 20 700 descendants en l’espace de 4 ans !

LE CHIEN VU PAR LES CLIENTS DE VÉTÉRINAIRES

Le Syndicat National des Vétérinaires d’Exercice Libéral (SNVEL) a mis en place un sondage, pour évaluer l’image du chien dans l’esprit des clients des vétérinaires. Cette étude permet non seulement de mieux connaître la typologie des clients des cabinets et cliniques vétérinaires, mais surtout plusieurs de leurs motivations liées à l’acquisition et à leur vie avec leur animal.
 
Elle donne des indications sur la typologie des chiens :
• 46 % de femelles, 54 % de mâles
• 27 % de chiens LOF (pure race)
• 33 % de chiens stérilisés (21 % des mâles et 51 % des femelles)
 
Concernant le prix d’achat du chien possédé :
• 35 % des clients déclarent ne pas l’avoir payé
• 1/3 tiers de clients annonce un prix supérieur à 1 000 euros versés pour obtenir l’animal
•  56 % des propriétaires estiment normal de payer un chien.
 
Mais d’où vient-il ?
• 40 % d’entre eux l’ont acheté dans un élevage
• 28 % des cas indiquent que leur compagnon leur a été donné
• 15 % des cas déclarent qu’il est issu d’un particulier
• 8% des cas l’ont acheté dans une animalerie
• 9% des cas l’ont adopté dans un refuge.
 
Le recours à l’éducation n’est pas systématique puisqu’il ne concerne que 24 % des clients :
• 41 % d’entre eux ont persévéré dans cette démarche
 
Les raisons avancées pour justifier l’abandon des cours d’éducation sont :
• 23 % pour le coût
• 41 % pour l’absence d’intérêt (jugé inutile par des clients ayant arrêté).
 
Les critères qui ont motivé l’adoption d’un chien sont essentiellement d’ordre sentimental :
• 52 % des clients citent l’affection
• 19 %  des clients citent la beauté qui arrive en deuxième position
 
Les qualités primordiales du chien pour son propriétaire :
• 65% citent l’affection qui est encore une fois citée
• Le comportement arrive en seconde position
• La beauté en troisième
• Le caractère amusant en quatrième
 
Mais le chien n’a pas que des qualités, il possède également quelques désagréments :
• 83 % déclarent que le défaut n° 1 d’un chien est l’agressivité
• 27 % d’entre eux seraient prêts à euthanasier leur animal pour ce motif.
• Le côté "destructeur" est considéré comme le défaut n° 2.

LES CHIENS MILITAIRES CONNAISSENT LE MÊME SYNDROME POST-TRAUMATIQUE QUE LES SOLDAT

Selon l’étude menée par le Docteur W. Burghardt, chef des études sur le comportement des chiens militaires de la base de Lackland aux Etats-Unis, les chiens militaires seraient également sensibles et affectés par les horreurs et les difficultés rencontrées pendant la guerre.

Tout comme pour les humains, les chiens voyageant sur de longues distances sont sujets au stress, sont distraits par des bruits importants ou peuvent être plus agressifs.… Cependant, ces effets sur le comportement sont plus notables chez les chiens ayant eu une expérience du combat et un déploiement prolongé sur le terrain.

Face à ce constat, des traitements thérapeutiques et médicamenteux sont prescrits afin d’aider les chiens à se sentir mieux. L’efficacité de ces traitements n’est pas encore prouvée, mais selon le Docteur Burghardt, ce syndrome est peut-être traitable, surtout chez des chiens au moral très fort et résistant.

Tout comme pour les humains, le caractère de l’animal va nécessiter un traitement différent d’une race à l’autre ou d’un chien à l’autre. Certains nécessitent des antidépresseurs, d’autres des calmants pour lutter contre le moindre stress dans leur environnement.

Jusqu’à présent, on estime que :
• un quart des chiens ayant suivi le traitement sont retournés sur le terrain
• 25 % ont été assignés à d’autres travaux
• 25 % ont quitté l’armée pour être adoptés ou pour travailler avec les forces de police.
• Les 25% restant ont été maintenu en thérapie.

UN PROJET DE SÉRIE TV SUR LA PROFESSION VÉTÉRINAIRE

Après Dr House, Grey’s Anatomy, Urgences… les séries télévisées se penchent sur le métier de vétérinaire. Humour, émotion, échange pourraient être les maitres mots de cette nouvelle série présentant les liens entre l'homme et l'animal dans notre société. Ce nouveau projet de séries télévisées devrait s’intituler VET et est, actuellement, en cours de développement.
 
Imaginez, une communauté complexe d'hommes et de femmes qui vivent au rythme des opérations, de l’amitié, de l’amour mais où se mêlent également jalousie et conflits professionnels ou privés. Elle racontera l'histoire d'un centre hospitalier vétérinaire, et le tournage devrait avoir lieu en province au sein d'un Centre Hospitalier Vétérinaire.
 
Pour ce projet, les deux co-auteurs, Emma Perret et François Dubreuil (fils de vétérinaire) souhaitent mettre en scène de manière la plus plausible possible des cas réels du quotidien des vétérinaires. Le langage utilisé sera le langage professionnel vétérinaire, rendu accessible au public grâce aux explications fournies dans les discours du personnel soignant aux propriétaires des animaux.

La volonté des auteurs est de lier étroitement la profession vétérinaire à ce projet intéressant et premier du genre dans son approche.
Bien que le personnel soignant de la série soit composé d’acteurs, la plupart des animaux choisis pour participer seront de la propre clientèle de l'hôpital ou seront recrutés pas le biais des réseaux sociaux (web, blog, facebook, twitter...).
Les auteurs souhaitent que la première série se compose d'une dizaine d'épisodes de 26 minutes.
 
La diffusion de la série devrait, pour accroître son audience, utiliser l’ensemble des médias (web, mobiles, jeux vidéos, TV, réseaux sociaux…). Des flashs mobs sont même prévus et seront organisés dans différentes villes de France avec des acteurs et/ou des animaux de la série.
 
Les producteurs souhaitent également faire appel au vécu des praticiens, mais aussi de leurs clients, pour recueillir des témoignages cocasses qui permettront à la comédie de mieux s'ancrer dans la réalité.

UNE INVENTION RÉVOLUTIONNAIRE POUR AIDER LES CHIENS HANDICAPES

Alors que de nombreuses innovations et aménagements, encore insuffisants, ont vu le jour pour améliorer la circulation et la vie des personnes à mobilité réduite, certains inventeurs se creusent les méninges pour améliorer le quotidien de nos animaux handicapés !

Nir Shalom, un designer industriel israélien en fait partie. Véritable amoureux de nos compagnons à quatre pattes, il a conçu un système permettant aux chiens handicapés de se déplacer facilement.

Véritable petite révolution dans le monde canin, son invention va sans doute radicalement changer la vie de ces chiens. « L’amigo dog wheelchair » est le résultat de longues observations et études menées sur l’univers canin et plus particulièrement sur ces chiens handicapés..

Encore au stade du prototype, « L’amigo dog wheelchair » (soit littéralement la chaise roulante pour chien) est fabriquée en aluminium, plastique moulé et munie d’un rembourrage sur mesure.

Les roues en plastique du prototype se substituent aux pattes arrière du chien et lui permettent de se déplacer librement partout où l’animal souhaite pouvoir aller. Le chien peut ainsi se déplacer, s’asseoir, se coucher ou même encore courir.
Le fonctionnement du prototype a été prouvé et son efficacité aussi, reste à savoir si il sera prochainement commercialisé, et à quel prix.

Tout d’abord pensés pour les chiens, d’autres prototypes seraient envisagés pour offrir la même possibilité de se déplacer librement, malgré un handicap, aux chats, lapin.

PROFESSION CHIEN POLICIER : UN LIVRE SUR DES CHIENS PAS COMME LES AUTRES

Auteur  : Richard Marlet
Editeur : Favre Eds
Date de parution : avril 2011

Impressionnants et fascinants, les chiens policiers ne cessent jamais de nous étonner par leur flair incroyable. Aujourd’hui, un livre leur est dédié et met à l’honneur ces animaux hors du commun.
Intitulé « Profession chien policier », l’ouvrage a été rédigé par un auteur qui connait bien ces animaux et le métier. En effet, Richard Marley, est commissaire divisionnaire au 36, quai des Orfèvres. C’est donc en connaissance de cause qu’il peut nous faire partager l’importance de ces chiens, d’un genre particulier, qui aident à résoudre chaque année de nombreuses enquêtes et affaires criminelles.

Quand l’homme et l’animal collaborent
Les policiers ont bien compris l’intérêt d’utiliser le flair exceptionnel des chiens pour coincer des malfaiteurs. Au 19e siècle déjà, Louis Lépine (préfet de police et initiateur du célèbre concours d’inventions qui porte son nom) inaugure la première brigade cynophile de France. Les chiens policiers sont alors deux Terre-Neuve qui ont, à l’origine, pour mission de repêcher les personnes qui se jettent dans la Seine.
Rapidement pourtant, ils sont appelés en renfort pour traquer les réseaux et les criminels.
Aujourd’hui, la brigade a pris de l’ampleur et ce sont maintenant 650 chiens qui secondent la police au quotidien. Les gendarmes, quant à eux, en forment près d’une centaine chaque année.

Petit chien deviendra policier
Recrutés dès l’âge de 10 mois, les animaux sont entraînés par des maîtres-chiens à déceler de la drogue, accompagner les policiers lors de leurs patrouilles ou aider à la recherche de personnes disparues.
Leur dressage est très précis, ils sont capables de détecter toutes sortes de drogues : ecstasy, LSD, cocaïne ou encore morphine…

A chaque chien son utilité
Bien que les chiens soient principalement utilisés pour détecter et rechercher la drogue, là n’est pas leur seule mission. Ainsi, selon les besoins et les enquêtes différentes races, de par leurs caractéristiques (taille, mental, odorat…) peuvent être utiles aux brigades. Les petits chiens types Jack Russel ou Fox Terrier peuvent s’infiltrer dans les plus petites cachettes où sont dissimulés des sachets de drogue. Des Cockers sont formés à renifler des matières explosives. Les plus grandes races de chiens, typées Berger allemand ou Malinois, sont principalement sollicitées pour rechercher des personnes ou détecter les faux billets.

Un livre qui a du chien
L’auteur de l’ouvrage entraine le lecteur au cœur des enquêtes. Parsemé d’anecdotes et de faits réels, cet ouvrage plaira autant aux amateurs d’enquêtes policières qu’aux admirateurs de ces chiens héroïques.

UN HOMME PARMI LES LOUPS

Auteur  : Shaun Ellis
Traduction : Marie de Prémonville
Editeur : Lattes
Date de parution : avril 2011

« Un homme parmi les loups » relate l’histoire réelle, mais extraordinaire de Shaun Ellis. L’ouvrage vous plonge dans l’univers incroyable de cet ancien garde-chasse qui a tout quitté, pour vivre en osmose avec les loups. Cette histoire raconte comment l’auteur a vécu au sein d’une meute de loups.

Une vie en communauté
Intriguant, passionnant pour certains, inconscient pour d’autres, qu'est-ce qui a poussé l’auteur à vivre une telle aventure ?
Après une première expérience au contact d’une meute dans un parc naturel des Rocheuses (USA), Shaun Ellis décide de laisser derrière lui tout contact avec la vie moderne pour rejoindre une meute de loups dans une forêt en Pologne. Pour devenir un membre à part entière de la meute, Shaun doit manger, vivre, se défendre comme eux. Il ne doit pas changer de vêtements ou se laver trop minutieusement au risque de perdre son odeur corporelle…

Découvrir sa vraie nature
À mi-chemin entre l’Homme et l’animal, l’auteur sentait au fond de lui-même qu’il était capable d’une telle expérience. En effet, avant cette expérience, Shaun Ellis a vécu pendant 18 mois au sein d’une meute de loups dont il était le chef.
Cette expérience a été pour lui une révélation et a donné un sens à sa vie, sa mission : démystifier le loup, et montrer au grand public à quel point il ressemble à son cousin le chien. Shaun Ellis cherche à comprendre et à réduire la peur que l’on a du loup. Ce récit est bien plus que celui d’une aventure humaine, c’est celui d’une aventure animale !

JOURNEE PORTES OUVERTES NATIONALE HANDI’ CHIENS

SAMEDI 14 MAI 2011

Les 4 Centres d’Education de Chiens d’Assistance Handi’Chiens d’Alençon, de Bretagne, de Lyon et du Val de Loire ouvriront leurs portes le samedi 14 mai, pour faire découvrir aux personnes handicapées, aux associations, aux médecins, aux professions paramédicales et au grand public, l’action d’Handi’Chiens au service des personnes handicapées moteur.

Au programme
- des démonstrations de chiens d’assistance
- des rencontres avec des personnes handicapées et leurs chiens, avec les éducateurs spécialisés, mais aussi avec des bénévoles et des familles d’accueil
- témoignages de l’engagement des bénévoles aux côtés d’Handi’Chiens,

Handi’Chiens a pour mission d’éduquer et de remettre gratuitement des chiens d’assistance à des personnes – enfants et adultes - atteintes d’un handicap moteur. Ces partenaires chiens sont capables de répondre à 52 commandes (ramasser un objet, ouvrir portes et placards, allumer la lumière, aboyer sur commande…). Ils favorisent l’autonomie et l’insertion sociale des personnes en situation de handicap, privées de mobilité. Ils apportent un soutien moral et affectif et aident ainsi à surmonter les difficultés de la vie au quotidien.

Malgré une reconnaissance officielle, en 2005, « comme une aide à la vie autonome et à l’intégration dans le milieu ordinaire », Handi’Chiens ne bénéficie d'aucunes subvention de l’État. Pour mener à bien sa mission, Handi’Chiens n’a donc d’autres choix que de compter sur la solidarité des bénévoles et la générosité du grand public, d’entreprises, de fondations, de clubs service, d’associations et de collectivités territoriales. Chaque chien remis représente un coût de 13 000 € pour l’association.

RENDEZ-VOUS CHEZ…
HANDI’CHIENS ALENCON
250 avenue du Général Leclerc
61000 ALENCON
Tél. : 02 33 29 51 26
handichiens.alencon@wanadoo.fr
Responsable du Centre :
Marie-Claude LEBRET

HANDI’CHIENS BRETAGNE
ZA du Pont Camet
22800 SAINT BRANDAN
Tél. : 02 96 58 18 40
handichiens.bretagne@wanadoo.fr
Responsable du Centre : Hélène WAVELET

HANDI’CHIENS LYON
649 avenue Bourgelat
69280 MARCY L ‘ETOILE
Tél. : 04 78 87 63 93
handichiens.lyon@wanadoo.fr
Responsable du Centre : Maryse PEYTAVIN

HANDI’CHIENS VINEUIL
Lieu dit « Les Luquelles »
41350 VINEUIL
Tél. :02 54 42 02 72
handichiens.vineuil@wanadoo.fr
Responsable du Centre : Michel HEILIG
Conception et Réalisation Veto Online - 2011